Dans cette section, vous trouverez quelques renseignements nécessaires sur les bonnes pratiques à utiliser dans la vie quotidienne.

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Saviez-vous que?
- La superficie approximative des canaux de Saint-Zotique est de 200 000 mètres carrés;
- La municipalité compte 25 canaux;
- En moyenne, les équipes de faucardage nettoient 60 000 mètres carrés par semaine.
Descente à bateau municipale
La descente à bateau municipale est située à la Plage de Saint-Zotique (105, 81e Avenue) et est accessible gratuitement pour les résidents de Saint-Zotique. Pour y avoir accès, les citoyens doivent se procurer un laissez-passer en se rendant à l’hôtel de ville.
Pour les non-résidents, le coût de descente est de 20 $ et est payable dans la boîte prévue à cet effet, directement à la descente à bateau. Une passe saisonnière est disponible. Pour obtenir plus d’information, il vous est possible de communiquer avec le Service des loisirs au 450 267-9335, poste 4.
Plan d’action en développement durable (PADD)
Se développer durablement, c’est répondre à nos besoins sans compromettre l’avenir de nos enfants!
En 2016, notre municipalité se dote d’un Plan d’action en développement durable (PADD) qui s’appuie sur une vision à long terme et qui prend en compte le caractère indissociable des dimensions environnementale, sociale et économique des activités de développement.
Plan d’adaptation aux changements climatiques (PACC)
Depuis plusieurs années, nous constatons l’impact des changements climatiques sur les réalités municipales. La variation drastique des températures, la quantité importante de précipitation (pluie et neige) dans un court délai, la présence d’événements météorologiques extrêmes à des fréquences rapprochées et répétées bouscule les pratiques traditionnelles.
Nous avons identifié les éléments problématiques sur lesquels nous avons établi des diagnostics, un plan d’action et des priorisations pour la mise en œuvre.
Le programme d’initiative pour la lutte aux changements climatiques veut favoriser l’acquisition d’équipement écoresponsable en accordant une subvention, sous forme d’une remise en argent, payable au propriétaire et/ou locataire d’un immeuble résidentiel, qui procèdent ou qui font procéder à son installation ou son aménagement, le tout conditionnellement au respect des conditions d’admissibilité prévues au règlement numéro 731.
La remise accordée par la Municipalité au propriétaire et/ou locataire d’un immeuble résidentiel pour l’achat d’un équipement écoresponsable, jusqu’à un maximum déterminé, qui correspond au moindre des montants suivants, à savoir :
- Réducteur de consommation d’eau (toilette, robinet, pomme de douche) : deux cents dollars (200 $) et jusqu’à un maximum de 50 % de la valeur d’achat et d’aménagement.
- Borne de recharge pour voiture électrique : deux cent cinquante dollars (250 $) et jusqu’à un maximum de 25 % de la valeur d’achat et d’installation.
- Entretien de pelouse :
– Lame herbicyclage pour une tondeuse à gazon : vingt-cinq dollars (25 $);
– Ensemble de déchiquetage pour un tracteur à gazon : cinquante dollars (50 $);
– Tondeuse à gazon sans essence ou manuelle ou à rouleau : cent dollars (100 $) et jusqu’à un maximum de 50 % de la valeur d’achat et de l’assemblage. - Remplacement d’un appareil résidentiel de chauffage au bois : deux cent dollars (200 $) et jusqu’à un maximum de 50 % de la valeur d’achat et d’installation.
- Bicyclette neuve standard ou électrique : cinquante dollars (50 $) et jusqu’à un maximum de 50 % de la valeur d’achat et d’assemblage.
- Dosimètre pour le radon : dix dollars (10 $) de la valeur d’achat.
La plantation d’un arbre requiert une planification. Il y a plusieurs critères à prendre en considération pour s’assurer de la pérennité de votre arbre. Les éléments suivants vous permettront d’avoir une idée du résultat final de votre arbre.
- Hauteur, largeur, forme, vitesse de croissance;
- Besoins en matière de soleil, d’humidité, d’entretien;
- Capacité d’adaptation au sol de votre propriété;
- Capacité de résistance aux maladies, aux insectes, à la pollution, aux conditions climatiques (vent, glace);
- Développement des racines sur le terrain;
- Capacité de s’harmoniser à l’environnement.
De plus, vous devez prendre en considération que l’abattage d’un arbre est régi par un règlement. Il est donc important de prendre connaissance de la réglementation avant de procéder à l’abattage.
Pour choisir un arbre répondant aux besoins de votre propriété, pour voir les caractéristiques de l’arbre souhaité et pour vérifier la distance de plantation sécuritaire par rapport aux fils moyenne tension, consultez le répertoire suivant :
L’agrile du frêne est un insecte exotique envahissant qui s’attaque aux frênes. Les coléoptères adultes émergent généralement en mai et infestent l’arbre duquel ils ont émergé ou un frêne à proximité. De façon naturelle, l’agrile du frêne se propage lentement. Toutefois, le déplacement de matières infestées comme du bois de frêne récemment abattu ou le bois de chauffage provenant de toute essence d’arbres représente le plus grand risque d’introduction de l’insecte dans de nouvelles régions.
La plantation de toute espèce de frêne (Fraxinus spp.) est interdite sur l’ensemble du territoire.
Prévention de l’infestation
La conservation d’un frêne est possible seulement par un traitement préventif ou de mesure de contrôle à un stade précoce d’infestation à l’aide d’un pesticide systémique. Ce traitement ne permet pas l’éradication de l’agrile du frêne. Ce traitement doit être répété au maximum tous les deux ans, et ce, durant une période de dix à quinze ans. Il doit être effectué par un spécialiste.
Un frêne qui n’est pas infesté, mais qui n’est pas traité, sera éventuellement infesté, d’où l’importance d’agir maintenant. Dans le doute, il est conseillé de consulter un spécialiste.
Procédure à suivre en cas d’infestation
Un frêne qui présente des signes d’infestation est infesté depuis au moins un an. Un frêne infesté non traité mourra en quelques années. Il est donc important de planifier son abattage si le traitement n’est pas souhaité. Abattre un frêne en début d’infestation coûtera moins cher que d’attendre qu’il soit mort.
Il est conseillé de consulter un spécialiste afin de déterminer le degré d’infestation de votre frêne et de la stratégie à adopter.
Abattage et émondage de frênes
- L’abattage ou l’émondage de toute espèce de frêne (Fraxinus spp.) est autorisé sur l’ensemble du territoire suivant les conditions suivantes :L’abattage et l’émondage de frênes sont autorisés entre les 1er octobre et 1er mai de chaque année;
- Les résidus de coupe, de façon non limitative, comprenant le frêne en entier ou en morceaux, les branches, rameaux, feuilles fraîches, troncs, souches, planches, écorces, billes ou copeaux ne doivent pas sortir des zones réglementées par l’Agence Canadienne d’inspection des aliments (ACIA);
- Pour être conformes, les copeaux doivent avoir moins de 2,5 cm2;
- Le bois de chauffage de toutes les essences doit être transporté seulement à l’intérieur des zones réglementées par l’ACIA;
- Tous les véhicules servant à transporter des produits réglementés doivent être nettoyés à l’aide d’un balai ou d’un lavage sous pression avant le chargement au point d’origine et avant le départ des installations d’origine;
- L’abattage d’un frêne exige la plantation d’un autre arbre.
Vous pouvez consulter ces sites Internet et autres documents pour de plus amples renseignements sur l’agrile du frêne :
Pour un maximum d’efficacité, il est fortement recommandé de prévoir deux dates de coupe, soit les 15 juillet et 15 août.
Il est possible d’avoir des renseignements en prenant connaissance de la documentation « L’herbe à poux et l’herbe à la puce… Ce n’est pas pareil… » de l’Agence de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux du Québec.
L’herbe à la puce et l’herbe à poux sont facilement discernables et les problèmes qu’elles causent sont totalement différents.
L’herbe à poux est une mauvaise herbe très répandue au Québec. Elle constitue une nuisance pour une grande partie de la population. 1 personne sur 7 souffre d’allergie due au pollen dégagé par cette plante.
La sève de l’herbe à la puce renferme de l’urushiol, un allergène qui cause une douloureuse inflammation de la peau (dermite de contact allergique) chez environ 85 % de la population. L’urushiol est présent dans toutes les parties de la plante, à l’exception du pollen.
L’herbe à la puce provoque des réactions cutanées tandis que l’herbe à poux est sans danger au toucher en tout temps. C’est son pollen qui nous irrite!
Comment se débarrasser de l’herbe à la puce
Arracher la plante, enlever tous les rhizomes visibles et travailler le sol fréquemment pour entraver sa capacité de reproduction. Il est important de bien se protéger lors de ces opérations et de nettoyer adéquatement les vêtements et les outils utilisés.
Étouffer l’herbe à la puce en la recouvrant d’un vieux tapis, d’un épais plastique de couleur noire ou d’un autre matériel durable pendant au moins 1 an. Prendre soin de couvrir le sol jusqu’à 2 m autour du plant.
En dernier recours, utiliser un pesticide à faible impact dont l’ingrédient actif est l’acide acétique ou le mélange d’acides caprique et pélargonique.
Se défaire des débris végétaux en les plaçant dans un sac à ordure bien identifié ou en les enfouissant profondément dans le sol. Ne jamais les composter ou les brûler. L’inhalation de fumée dégagée par la combustion de la plante peut causer une réaction pulmonaire sévère.
Pour obtenir toute l’information relative à l’herbe à poux et sur l’herbe à la puce, nous vous invitons à consulter le site Internet du Jardin Botanique de Montréal Espace pour la Vie / Herbe à poux et herbe à puce.